2 février 2008
J'aime pas // me perdre aussi longtemps.
Ne cherches plus, je pense que tu détiens la clef de toute mon émotivité.
Je suis là pendu à tes doigts, connecte-toi enfin que je puisse assouvir
mon délire d'interactivité. Le moche manque m'a coincé entre la chaise et le bureau.
Je ne suis plus qu'un petit morceau de plumes.
Je suis l'oiseau prisonnier de mon propre coeur fait de féraille,
les pattes sur le balancier, le regard dans le statique de l'internet
et les yeux collés à l'écran attendant (im)patiement comme dans ma cage (parisienne).
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